Recommandée en restauration commerciale ou collective lorsque l’établissement génère moins de 250 couverts/jour, la machine à laver la vaisselle à capot réduit considérablement le temps passé à cette tâche souvent ingrate. Une implantation réussie et un entretien régulier garantissent sa longévité.
La plonge est souvent la zone de travail de la cuisine la plus délaissée par les opérateurs. Pourtant, un aménagement intelligent, avec du matériel performant, même dans les configurations les plus exiguës, peut s’avérer bénéfique pour l’exploitant et l’équipe en charge de la plonge. Au moment du coup de feu, la performance d’une machine sera précieuse pour éviter les engorgements et réduire le temps de travail du plongeur. Mais l’environnement dans lequel l’équipement prendra place est tout aussi important et doit être bien réfléchi pour que l’hygiène, le confort de travail et l’ergonomie soient au rendez-vous. Pour gagner en performance, il faudra aussi prévoir un espace suffisant pour trier la vaisselle. D’où la nécessité dans tout nouveau projet de bien anticiper l’implantation de la laverie. Une fois bien configurée et pourvue de matériels adaptés, la laverie va nécessiter une attention quotidienne de la part de l’exploitant et du plongeur. Car la propreté des machines doit être exemplaire et les opérations de maintenance quotidienne rigoureuses.
Cette nouvelle infographie dédiée à la machine à laver à capot complète celles que nous avions consacrées à la machine à laver à convoyeur (La Cuisine Pro N° 20) et au local laverie (La Cuisine Pro N° 1). Pour la réaliser nous nous sommes appuyés sur les réponses que les fabricants et les installateurs ont bien voulu apporter à nos questions. Toute ressemblance avec une marque de machine existante ou ayant existé ne peut être que fortuite.
A la loupe
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