Pour équiper leur cuisine, nombreux sont les restaurateurs qui aimeraient bien avoir recours à des matériels de seconde main, plus vertueux parce qu’ils polluent moins et surtout, en moyenne, 30 % moins chers que le neuf. L’arrivée sur le marché de spécialistes de la seconde main, stimulés par l’article 58 de la loi AGEC qui touche les collectivités publiques, fait bouger les lignes. Mais ces changements ont des conséquences et bousculent les habitudes de toute la filière.

  Vesto, le précurseur Lorsqu’en 2021, Vesto a ouvert son premier centre de reconditionnement de matériel de cuisine professionnelle en région parisienne, bon nombre d’acteurs de la Grande cuisine pensaient que çela ne durerait pas. C’était sans compter sur la détermination des trois fondateurs, Bastien Rambaud, Anne-Laurène Harmel et ...