« Que feraient des millions de Français sans cantines scolaires ? ». C’est avec cette phrase choc que le SNRC, qui représente la restauration concédée, a interpellé les pouvoirs publics. Pourtant, c’est bien ce qui risque d’arriver comme le rappellent des élus (notamment à Besançon) qui montent au créneau estimant devoir choisir entre la Police municipale et la cantine à l’avenir si les discussions sur le PLF et le PLFSS aboutissaient à de nouvelles coupes budgétaires.
Elu·e·s Génération·s - Ville de Besançon
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Les entreprises de la restauration collective rappellent également les missions d’intérêt général auxquelles elles apportent leur contribution au quotidien. Elles incarnent plus que jamais :
➢ une réponse majeure à la précarité alimentaire
➢ un rempart contre une alimentation de mauvaise qualité
➢ un outil de protection du pouvoir d’achat des familles
➢ un vecteur essentiel de l’éducation alimentaire
➢ un facteur puissant de prévention santé par l’alimentation
➢ un moyen de limiter considérablement les dépenses de santé
➢ un débouché pour les filières agricoles de nos territoires
➢ un acteur engagé de la transition écologique
« Économiquement très contraints mais socialement responsable, nos modèles de restauration collective sont au service de l’intérêt général pour une alimentation saine, sûre et durable pour tous » conclut Isabelle Aprile.