En visite au Centre mondial de la Paix de Verdun, la députée de la 5e circonscription d'Indre-et-Loire et présidente de la commission des affaires européennes à l'Assemblée nationale Sabine Thillaye vient d’annoncer que les 10 et 11 mai prochain, un dessert franco-allemand va être élaboré par des chefs de cuisine des deux États comme Guillaume Gomez, ancien chef cuisinier de l'Élysée, le chef cuisinier du chancelier allemand, Christelle Brua, pâtissière de l'Élysée ou Anna Plagens, pâtissière à Berlin, en collaboration avec des élèves en hôtellerie et restauration français, allemands et luxembourgeois. Le dessert créé sera proposé dans les vitrines des pâtisseries françaises et allemandes. Le projet s’intitule : "La gastronomie diplomatique : les desserts franco-allemands emblématiques" et s'inscrit dans le volet culture de la PFUE (Présidence Française de l’UE) et dans "L'année de la gastronomie et l'année européenne de la jeunesse".
Le Syneg accueille son 61ème adhérent avec l’arrivée de la société Sofinor, fabricant français d’équipements et mobilier inox pour la restauration hors-domicile & les métiers de bouche. Sofinor fabrique également des rôtissoires professionnelles sous la marque Inotech destinées à la grande distribution, à la restauration hors-domicile, aux traiteurs et aux métiers ambulants. Enfin, sous la marque Arcania, l’entreprise fabrique des lave-bassins et des équipements inox destinés au secteur hospitalier. Au Syneg, c’est Guillaume Deleau son président qui représentera l’entreprise nordiste.
C’est une peine maximale avec 375 000 € d'amende qui a été requise le 16 mars dernier contre Deliveroo, dans le cadre d’un procès devant le tribunal correctionnel de Paris pour travail dissimulé sur la période 2015-2017. La procureure a estimé que la plateforme de livraison avait "instrumentalisé et détourné la régulation du travail" dans le but d'organiser une "dissimulation systémique" du statut des livreurs, qu'elle aurait dû salarier au lieu de les employer en tant qu'indépendants. Ce procès est la première procédure pénale en France relative aux travailleurs des plateformes car, jusqu’ici, seules des juridictions prud’homales s'étaient exprimées. (Source : L’Usine Digitale)
Louis Técher remporte la deuxième édition du concours Rational « Cuisinons pour demain ». Élève de terminale en Baccalauréat professionnel Cuisine au Lycée Lesdiguières de Grenoble, il remporte la compétition grâce à son assiette « Rouge d’œuf, duo de purées, blanc safrané et châtaigne » qui a séduit le jury par son originalité, sa technicité et son équilibre, dans le respect du thème imposé et sa démarche locavore et engagée. Le jeune étudiant avait choisi de travailler des produits issus de son propre jardin…
Le Food Court La Gare du Sud à Nice est en difficulté comme le rapporte le quotidien Nice Matin. Il ne reste plus que 7 restaurants « résistants » mais qui ont arrêté de payer l’exploitant Urban Renaissance Développement (URD), les services promis n’ayant jamais été délivrés. De son côté URD a demandé leur expulsion. Les autres enseignes ont jeté l’éponge et sont parties (à priori avec un chèque). Urban Renaissance avait pourtant cédé la gestion du site en juin dernier à Enchanté - qui exploite aussi le nouvel Iconik - avec l'espoir qu’ils redynamisent l'espace et après que le maire de Nice ait tapé du poing sur la table… Interviewé par le quotidien fin février, Christian Estrosi a reconnu qu’il y aurait maintenant des repreneurs potentiels pour cette halle : "Prestigieux, implantés en France et à l’international. Des repreneurs bien décidés à relancer le lieu". Mais URD n’en ferait pas partie. "Ils n’en ont pas les moyens", constate le maire dans le quotidien régional. "La procédure est complexe, il y a un fonds d’investissement qui finance URD et il n’est pas non plus satisfait de la gestion. Chaque jour qui passe est un jour où URD va vers de plus en plus de difficultés vis-à-vis de ses actionnaires. L’histoire va s’arrêter"…
Le festival Mythos qui se tiendra du 1er au 10 avril à Rennes est aussi un festival de la gastronomie et du goût ! Pendant dix jours, cuisiniers et raconteurs se croisent dans les Jardins du Thabor, pour le plaisir simple de partager un moment magique. 70 chefs y sont invités pour concocter des menus inédits et les cuisines sont dimensionnées et installées par Roazhon Cuisine.
Le groupe Elysées Monceau vient de livrer le nouvel hôtel Mama Shelter à Paris La Défense.
A Paris, les dark stores vont devoir se mettre en conformité avec les règles en matière d’urbanisme : notamment en demandant des autorisations avant de transformer une ancienne supérette en entrepôt et ne pas s’installer dans des immeubles où il y a des habitations. Il y en aurait une soixantaine qui seraient concernés…
Les 16 et 17 mars dernier, les responsables de l'Usine Rieber ont rencontré les équipes du Syrec et du Siresco afin de mieux appréhender les contraintes du terrain concernant la transition vers des contenants réemployables pour les cuisines centrales de gros volume. Il serait temps ! Rappelons que Rieber est aussi l’un des rares fabricants de couvercle étanche pour les bacs inox. Selon le Syrec, cette visite a permis d'aborder différents sujets inhérents au réemploi : poids, épaisseur des contenants, tirage au vide, logistique… La société Mecapack a également été conviée aux conclusions de cette rencontre.
Agores et l’Institut de la Commande publique viennent de co-signer un courrier à l’attention du Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance afin de réclamer deux modifications du code de la commande publique. La première propose une méthode pour parvenir à une exception alimentaire en écartant les seuils supplémentaires introduits par la France (par rapport à l'Europe) et permettant a minima une exception sans formalité préalable pour les denrées, comme cela a été fait pour les travaux (qui bénéficient d'un seuil de 100 000 € HT). La seconde préconise un ajout dans le code permettant des réajustements tarifaires sans pour autant attendre un an et respecter le carcan actuel. Il doit aussi permettre à tous ceux qui passent des marchés de ne pas se voir pénaliser par des prix trop lourds intégrant trop de prises de risques du fait de la méthode actuelle. « Le contexte actuel de tensions sur les tarifs pratiqués dans le secteur des denrées alimentaires est difficilement compatible avec le caractère figé des marchés publics… » écrivent-ils.
Situé dans le 12e arrondissement parisien, près de l'hôpital Saint-Antoine, le bar brasserie resto Les Blouses Blanches vient de gagner ses indemnités pour pertes d’exploitation Covid-19 dans un procès qui l’opposait au CIC, son assureur. Ce dernier est d’ores et déjà condamné à verser une provision de 30 000 euros, sachant que les sommes demandées sont les suivantes : 171 714 € pour la 1ère fermeture administrative ayant eu lieu du 15 mars au 15 juin 2020, 27 439 € pour la 2ème du 6 au 29 octobre 2020 et 125 923 € pour la 3ème à partir du 29 octobre 2020…